Promenade en montagne

C'est ici qu'on viens se promener pour simplement parler et regarder le beau paysage.

Nabary arriva après Amélieé.
-Je ne devrais pas être ici, allons parler ailleurs.
Elle prit Amélie par le poignet et elle s'"en allèrent.

Amélie suivait sa soeur. Quand celle-ci s'assit, elle l'imita. Elle était bien avec ellle. Elle regarda le ciel. Il était très beau. Elle adorait regarder les nuages en compagnie de sa soeur, elles faisaient ça souvent lorsqu'ellle étaient plus jeunes. Amélie avait beaucoup changé depuis, sa soeur aussi. Amélie se leva. Elle avait envie de se dégorudir un peu les jambes. Elle avait envie de courir et de se sentir libre. Elle se mit à courrir partout sur la montagne. Elle courut, courut et courut. Elle était si bien, elle adorait ce sentiment de liberté absolue. Elle descendit la montagne et la remonta, elle fit cela encore, encore, encore et encore. Elle ne s'arrêta que lorsque qu'elle n'eut plus de force. Elle s'effondra par terre près de sa soeur. Amélie souriait. Ellle était tellemnt heureuse. Ellle se tourna sur le dos pour regarder les nuages. Elle se rassit et poussa sa soeur pour qu'elle tombe sur le dos elle aussi. Amélie se recoucha par terre.
-J'aime observer les nuages comme ça pas toi? Il me semble qu'on s'amusait avant, quand on allait en pique-nique et qu'on faisait cela tout l'après-midi. C,était le bon temps. On pouvait tout se dire, on avait pas de secrets l'une pour l'autre, mais ça a changé maintenant. Je ne sais rien de toi et tu ne sais plus grand chose de moi. Allez raconte-moi ton voyage, ton histoire depuis que tu m'as quitté. Après je te raconterai peut-être la mienne, si tu veux.
Elle soupira. Elle était tellemnt contente d'enfin pouvoir parler calmement avec sa soeur sans être dérangé. Cela faisait si longtemps que ça n'était pas arrivé. Elles devaient renouer des leins, après elles avaient été si proches l'une de l'autre autrefois, elle ne pouvaient pas s'éloigner comme ça, sans au revoir, sans explication. Amélie devait savoir ce que sa soeur avait vécu pour mieux la comprendre, comprendre les gestes qu'elle posait. Peut-être pour savoir ce qu'elle-même ressentait, ce qu'elle pourrait devenir. Il fallait que Méli-Anne lui réponde.

-Oui, tu as tout à fait raison. Nous devrions faire cela plus souvent.
Elle se leva. Elle sentait une envie de emurtre monter en elle.
-Je suis désolée, je dois partir, je n'ait vraiment pas le choix, c'est pour ton bien aurevoir.
Elle partit en courant.

-On ne peut jamais si fier à celle-là! J'arrive pas à croire qu'elle puisse encore me faire ça!
Elle soupira et se leva. Elle ne voulait pas rester là, elle n'avait plus rien à faire à cet endroit et elle préféra s'en aller.